En réponse à :
"Il s’appelait Bassem, ce qui signifie sourire, et c’est la façon dont il saluait tout le monde. Mais nous l’appelions tous « Phil », éléphant, parce qu’il avait le corps de la taille d’un éléphant. Mais Bassem avait un cœur d’enfant." (1)
Depuis 4 ans, tous les vendredis, les habitants de Nil’in, Bil’in et Jayyous manifestent pacifiquement, toutes tendances politiques confondues contre le mur, qui annexe jusqu’ à 60% des terres de ces villages agricoles.
Pour entrer tout de suite dans le cynisme, (...)