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En 1944, Pier Paolo Pasolini écrivait dans son carnet : "en fait, leur déclin est rapide : à quinze ans, ce sont des idoles enchanteresses, ornées de pudeurs, de tendresses, de VIVA-CITE inimaginables. A dix-huit ans, la grâce prometteuse qui les assoiffait de vie s’est immobilisée, et leur chère timidité a pris des teintes plus sombres et monotones : il leur reste à apaiser la curiosité de la chaire et ça les rend encors plus vulnérables, c’est-à-dire passionnés...
Mais à 22 ans, les jeux sont faits : ils se rendent compte que ce qu’ils pouvaient connaître de ce doux monde, ils l’ont déjà connu ; et ils (...)