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Le désespoir est assis sur un banc... écrivait Jacques Prévert. jeudi 7 décembre 2006 Soirée ’Relâche’ à la Chapelle à 19 heures le lundi 11 décembre, sur la politique répressive de la ville.
Aujourd’hui, à Toulouse, le désespoir n’a plus même le droit de s’asseoir sur un banc.
Un fait divers, le drame du Pont-Neuf le 12 septembre dernier, a fourni à la Mairie le prétexte pour se lancer dans une politique répressive vis-à-vis de tous ceux qui n’ont pas de domicile fixe. Création d’une délégation contre la « marginalité agressive ». Formation d’une « Brigade Anti-Marginalité » (BAM) au sein de la police (...)