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A trop se focaliser sur les liens personnels de Nicolas Sarkozy et de certains patrons de presse, à trop se concentrer sur son omniprésence, on laisse de côté l’essentiel : l’interdépendance, inédite à un tel degré, entre le pouvoir politique actuel et le pouvoir médiatique détenu par une oligarchie capitaliste [1]. Car, si jamais candidat ne spécula plus systématiquement sur la servilité des médias dominants, le président Sarkozy sait se montrer reconnaissant et accède aux désirs des magnats de la (...)