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L’immeuble est de verre et d’acier. Les vitres teintées ne permettent pas aux regards de pénétrer à l’intérieur. C’est au coin d’une rue tranquille et d’un boulevard à la circulation automobile incessante de ce lundi après-midi. Un son sourd et permanent, un son du cœur de la ville. Et ce n’est pas le canal, de l’autre côté du fleuve des bagnoles, avec ses grands arbres qui le dominent et l’espace vert qui le longe qui peut donner à ce coin de trottoir le moindre espace de naturel.
De la voiture banalisée qui vient se ranger, à quelques mètres, sortent des hommes en uniforme de la police. Ils en (...)