En réponse à :
D’aucun penserons simplement qu’il ne s’agisse en rien de perçevoir la beauté en tant qu’une expression de l’être comme politique par son état, son paraître dans l’idée, cela va de soi lors qu’il est necessaire à la survie de savoir par soi distinguer les proies-séduites, prosélites, comme le dinosaure lors qu’il avait décidé de prendre son festin par celui qui le séduira dans sa plus belle parure et là seulement pousse son crie de mort : << cocorico >> ; et scalpe son pareil au chef : l’élue celui qui présidera le festin de son corps imposant en tout bien tout honneur, son carnage , le (...)