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A Strasbourg les sonos ont aussi couvert le silence des marcheurs. La rancœur est sur les visages, on marche par fierté pour aller jusqu’au bout. L’énergie qui était palpable il y a deux ou trois manifs a disparu. Quelques slogans criés par quelques personnes surgissent entre les silences des sonos. Parfois une sono syndicale pour faire jeune, dans le coup, passe du rap. Tentez de reprendre en choeur une telle musique... Encore plus pitoyable, carrément stalinien, la sono de la CGT lit une lettre de soutien à "notre cher Bernard" pour qu’il défende les masses. Des anars anticapitalistes plus ou (...)