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En réponse à :

50 ans sans Lumumba

1er février 201017:19

Désolé pour les approximations et les fautes de français de ce billet un peu hâtif. Je pensais effectivement plus à la description des conditions du travail forcé en général qu’au cas des plantations de caoutchouc en particulier.
"Ils mourraient à petit feu ; c’était flagrant. Ils n’étaient pas des ennemis, pas des criminels, ils n’avaient plus de nom terrestre ; ils n’étaient que des ombres noires, malades et affamées, entassées en vrac dans l’ombre verdâtre. Venus de tous les coins de la côte dans la légalité des contrats temporaires, perdus dans un environnement qui n’était pas le leur, nourris (...)



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