En réponse à :
Que dire ? Si ce n’est une fois encore apporter toute ma solidarité aux travailleurs de Mollex.
Quand la délinquance est au pouvoir, ce sont les travailleurs qui payent.
Vivement que les syndicats prennent conscience de l’ampleur de la colère qui monte, de l’ampleur des dégats de la mondialisation sauvage et de la responsabilité qu’ils auraient à ne pas organiser les convergences et la résistance civique nécessaires par l’appel à la grève générale reconductible du secteur privé et du secteur public.
Ensemble, nous pouvons encore (...)