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Article de La Dépêche sur le campement, paru le 26/01/2007
SANS-LOGIS. INDIFFÉRENTS, CURIEUX, AGACÉS OU SOLIDAIRES, LES RIVERAINS OBSERVENT LE CAMPEMENT.
« Aller les voir, moi ? Sûrement pas. Je ne m’en occupe pas. D’ailleurs ici c’est pas les mêmes que ceux de Paris qu’on a vus à la télé et qui ont vraiment besoin d’être aidés. Ceux qui campent là ils ont dans les 18-25 ans, ce sont des teufeurs, ils dorment toute la journée. Ils foutent rien ». Derrière son comptoir, ce barman du boulevard Carnot, qui travaille à quelque 100 mètres du camp des SDF, n’apprécie pas ses nouveaux voisins, mais en tout cas, il (...)