En réponse à :
« “Trop pleines” de rhétorique consumériste comme l’oie que l’on gave ; pour gager son foie aux festins des barons ; toutes unies contre en naviguant aux prés sur le fil des rasoirs ; fuyant à toutes hâtes des campagnes fertiles ; rejoignant le beau règne de tout se qui se vend ; comment alors seulement vivre en présent sans calcule & sans fard ; non rien que sur mesures encore pour privilège ; se contredire “au faîte” comme cochon qui dit mieux ; rentrer dans sa caverne “&” rire de toutes ses dents ; & défiler après comme si de rien n’était ; brandir tous les concepts comme autant de (...)