En réponse à :
Quels oiseaux osent couvrir de leurs chants éfrontés la distribution des images, de quel droit ont ils encors coutume de chanter là où il est d’usage aujourd’hui de rendre la consigne que cela est révolu, du passée bonnement usé au rythme de la trottante !
Quel arbres osent étendrent encors leurs ostentatoires ramures au-dessus des hiérarchies installées qui doivent et c’est répugnant marcher avec leurs propres jambes là où même les indigeants de la répuplique peuvent aussi laisser l’équos de leurs pas !
Quel souffles impures osent raffraichir l’allée du privilège de la sécurité confortable des (...)