Après bien des orgies, des extases en cours bêtes, nos menaces font repères à nos frères abusés, les quartiers sont misères & par monts & parvis, à ce jour où l’oublie toujours se démunie des anciennes ceintures, où, s’engouffre l’ennui. Ramolli par souci, par la source, par défit, par tous les tours de bars des limites d’aujourd’hui. Ne jamais se dédire, ne jamais se gager, enfumer par les pleures, se jouer des malheurs, il suffit dès en corps à suspendre des pièges, nos paroles comme jetées, l’effroyable en épingle, au revers des chemises. Cela n’emporte pas les tourments & les pleurs des silences & des jeux des regards asphyxiés séparés à jamais de l’espace & du cœur . Saupoudrées aux frontons de biens jolies partages où personne ne prends et même n’aura à prendre, elles se gonflent sans cesse et s’assoient comme une fesse dans l’auge du festin. Et seulement gestionnaire, se croyant, se faisant, repentir & outrage comme d’un vin de messe, chantant dans lie grasse : quel émotion me fasse ! Ah fourbie, alibi, camouflage fugace, pour camoufler les traces d’un tout autre dessein, et l’on montre du doigt le lointain cet ailleurs, comme du privilège du repu du voyage ; d’ici il faut quitter ceux de tous ces quartiers, ces futurs déjà las parmi les oubliés. Autrefois c’était bien chanter le bon raisin, et la terre, et la terre comme une foie étreinte, exaltée et soumise à tout le 4 / 40, nous prions, nous prions comme en fière confesse de jamais de mort lasse n’immoler nos promesses. Nous sommes cerfs, nous sommes cerfs, venez peuples distraits faire tout vos offrandes à nos yeux de papiers rougies dans la fumé & brulés par les Sirs.