Grève à Météo France

vendredi 28 mars 2008 , par lilian dans VIDEOS DE TV BRUITS


Grève le 28 mars 2008.

Pour le maintien du service public météo
Contre la fermeture de la moitié des centres météo et la suppression programmée de centaines d’emplois. Durée 10’42

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  • Mauvais temps social sur Météo France cette nuit

    Les CRS sont toujours sur place ce mercredi matin aux entrées de Météo-France. Les grévistes aussi.
    C’est dans la soirée d’hier mardi que les hommes en bleus sont arrivés à la demande de la direction de l’établissement pour forcer le piquet de grève.
    Les manifestants étaient décidés à interdire aux employés réquisitionnés de prendre leur poste. Ces derniers y ont finalement été conduits sous protection policière.
    Il a tout de même fallu aux forces de l’ordre une franche bousculade et quelques jets de gaz lacrymogène pour se frayer un passage.
    « J’ai les tripes en vrac à l’idée d’aller travailler dans ces conditions » a déclaré un de ces réquisitionnés à l’AFP, exhibant le télégramme lui notifiant son obligation sous peine de sanctions disciplinaires.
    « Moi je travaille à Lyon, mais mon collègue, là, vient de Clermont-Ferrand », nous téléphonait un gréviste dans la nuit : quelques 400 salariés météorologistes venus de toute la France s’étaient rassemblés dans l’après-midi de mardi pour protester contre le projet de fermeture de près de 70 des 115 centres départementaux de Météo France d’ici 2017. Avec non-remplacement de 500 départs à la retraite sur un effectif de 3.700 employés.
    RéquisitionsLes syndicats CGT, CFDT, FO et Solidaire prévoient une semaine agitée. L’assemblée générale des personnels a voté une reconduction du mouvement avec blocage du site jusqu’au week-end prochain.
    Les grévistes exigent en outre que leur ministre de tutelle, Jean-Louis Borloo, se déplace à Toulouse pour d’éventuelles négociations. Ils assurent ne pas vouloir faire, eux, le déplacement jusqu’à Paris.
    Aucune éclaircie en vue ce mercredi matin. La présence de CRS n’empêche toujours pas l’occupation des lieux.

    LibéToulouse du 15 octobre 2008

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