Françoise VERGÈS • Pourquoi les quartiers populaires sont-il impopulaires ?
dimanche 7 avril 2013 , par dans Paysage Audiovisuel Alternatif d’Occitanie et d’Ailleurs
Françoise Vergès, politologue : « Vous avez vu dans les livres d’histoire célébrer les contributions des peuples ? »
Tant que la France ne se sera pas penchée sur son passé colonial et sur son présent postcolonial, tant qu’elle n’aura pas compris que la société française a profondément changé, qu’elle n’est plus et qu’elle n’a été que très rarement entièrement blanche et chrétienne, on n’y arrivera pas. (…) On part de là, on tire les fils du passé (…) On n’est pas là pour faire quelque chose pour eux, c’est avec eux, c’est nous qui sommes là.
Une vidéo du Couac, membre de Tv Bruits
Françoise Vergès est une écrivain française et politologue. Elle était l’invitée d’une rencontre-débat autour du thème "Histoire, mémoire collective et usages du passé", avec Olivier Le Cour Grandmaison, Yvan Gastaut, Laure Teulières lors de la 9ème édition du festival Origines Contrôlées porté par le Tactikollectif (tactikollectif.org). C’est à cette occasion que nous avons fait sa rencontre.
Françoise Vergès, politologue, Consulting Professor à Goldsmiths College, Londres, et Présidente du Comité pour la mémoire et l’Histoire de l’esclavage depuis 2008. Auteure de nombreux ouvrages sur le fait colonial et sur le rôle et la place de l’esclavage dans l’histoire de la colonisation, elle a récemment publié "Lives That Matter" dans Intense Proximity, catalogue de la Triennale de Paris 2012 et en 2011 L’Homme prédateur : ce que nous enseigne l’esclavage sur notre temps, chez Albin Michel.
1 commentaire
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F.VERGÈS • Pourquoi populaires, sont-elles impopulaires ?
par l’origine d’Edmonde 11 septembre 2013 11:39L’intéressante remarque sera de féminiser des termes usuels, ce qui se fait d’usage dans bien des modes de raison, modes & raisons devraient ainsi nous conduire pour un meilleur couple mécaniquede l’économie & une meilleure puissance d’action sociale ; de l’exemple : - Le Politique n’est pas La Politique, et, Le Pensé n’est pas La Pensé
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